Sur un sujet bien plus futile, mais somme toute plus joyeux (dans un monde où tout ce merdier innommable n’existerait qu’à la télé, ah… Utopie !), j’ai repris les 16 chapitres de Meilleurs Ennemis que j’ai relus et corrigés.
La trame de l’histoire reste la même, le découpage des chapitres ne bouge pas.
J’ai allégé certains dialogues que j’ai rendu moins aseptisés (traduction, oui, y a des gros mots, j’aime à me vautrer dans la vulgarité). J’ai aussi essayé de creuser un peu les relations entre les personnages, qui jusque là, étaient fort superficielles.